20.09.23 in ambassadeurs
thierry bouët
Quelle est la source de ton inspiration dans ton métier, dans ta vie ?
L'angoisse de la feuille blanche.
Quelles sont les personnes qui constituent des références pour toi dans l’exercice de ton métier ?
Toute les personnes que je croise font automatiquement partie de mes références tous genres confondus.
Quel compliment que tu as entendu concernant ton travail t'a le plus plu ?
"Tu te marres bien fumier".
Quelle est la ville ou la destination qui te ressemble et pourquoi ?
Avec ses grèves, ses embouteillages, ses manifestations et sa mauvaise humeur générale, je ne vivrais pas ailleurs qu'à Paris.
L'angoisse de la feuille blanche.
Quelles sont les personnes qui constituent des références pour toi dans l’exercice de ton métier ?
Toute les personnes que je croise font automatiquement partie de mes références tous genres confondus.
Quel compliment que tu as entendu concernant ton travail t'a le plus plu ?
"Tu te marres bien fumier".
Quelle est la ville ou la destination qui te ressemble et pourquoi ?
Avec ses grèves, ses embouteillages, ses manifestations et sa mauvaise humeur générale, je ne vivrais pas ailleurs qu'à Paris.
« Toutes les personnes que je croise font automatiquement partie de mes références tous genres confondus. »
Comment définirais tu l’art de vivre de Thierry Bouët ?
Je fais la fête le jour et me repose la nuit.
Quel est ton projet de référence ? (Ce dont tu es le plus fier par son esthétique ou parce que ce fut un défi).
Photographier Paris au drone en plein confinement jusqu'à ce qu'une arrestation policière y mette fin.
As-tu des rituels ? Dans ton métier et dans ta vie.
Deux "Winston Longue Rouge" par jour.
Le genre de photographie qui t’énerve, voire pire, qui t’ennuie ?
Les Nanas qui se mettent en scène comme des actrices toute la journée pour ne rien dire m'agacent mais me fascinent.
Je fais la fête le jour et me repose la nuit.
Quel est ton projet de référence ? (Ce dont tu es le plus fier par son esthétique ou parce que ce fut un défi).
Photographier Paris au drone en plein confinement jusqu'à ce qu'une arrestation policière y mette fin.
As-tu des rituels ? Dans ton métier et dans ta vie.
Deux "Winston Longue Rouge" par jour.
Le genre de photographie qui t’énerve, voire pire, qui t’ennuie ?
Les Nanas qui se mettent en scène comme des actrices toute la journée pour ne rien dire m'agacent mais me fascinent.
« Je fais la fête le jour et me repose la nuit. »
Ton lieu de prédilection ? L’endroit où te trouver si l’on te cherche ?
Au studio.
Ton objet favori, celui que tu sauverais chez toi en cas de catastrophe naturelle ? Combien pèse-t-il ?
Une quarantaine d'encombrantes boîtes de négatifs (120kg!).
Ce qui a du poids dans la vie pour toi ?
Voyager à deux y compris à Paris.
Tes bijoux le gramme, lesquels sont-ils ? Comment les portes-tu ?
J'ai décroché mes bracelets il y a 30 ans.
Si le gramme était une photographie ? Elle serait de qui, et représenterait quoi si ce n’était pas le bijou ?
La photographie est un business, je donne des idées contre des chèques.
Au studio.
Ton objet favori, celui que tu sauverais chez toi en cas de catastrophe naturelle ? Combien pèse-t-il ?
Une quarantaine d'encombrantes boîtes de négatifs (120kg!).
Ce qui a du poids dans la vie pour toi ?
Voyager à deux y compris à Paris.
Tes bijoux le gramme, lesquels sont-ils ? Comment les portes-tu ?
J'ai décroché mes bracelets il y a 30 ans.
Si le gramme était une photographie ? Elle serait de qui, et représenterait quoi si ce n’était pas le bijou ?
La photographie est un business, je donne des idées contre des chèques.
« La photographie est un business, je donne des idées contre des chèques. »